Prix d’étude des Mondes contemporains 2021 pour Maëlle Caugant
Maëlle Caugant, étudiante en master recherche à l’université de Bourgogne (2017-2019), a reçu le Prix d’étude des Mondes contemporains 2021, délivré par l’Association des amis de la Contemporaine pour son mémoire de Master 2 intitulé « Chroniques du féminisme bolonais. Naissance, développement et déclin du mouvement féministe autonome à Bologne de 1971 à 1986 ».
À partir de l’analyse des archives du Centre de documentation, recherche et initiative des femmes de Bologne, consultées lors de son séjour Erasmus, Maëlle retrace l’histoire des collectifs féministes autonomes qui revendiquent leur indépendance par rapport aux hommes dans le contexte bouillonnant des années 1970 d’une ville étudiante fortement ancrée à gauche. Faisant la part belle aux récits de femmes, elle met en lumière les bouleversements intimes provoqués par l’expérience de ces « hétérotopies » féministes dont l’héritage est toujours prégnant: « les sorcières ne sont jamais parties » clamaient-elles en 2016, lors de manifestations contre les violences faites aux femmes.
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Maëlle Caugant, étudiante en master recherche à l’université de Bourgogne (2017-2019), a reçu le Prix d’étude des Mondes contemporains 2021, délivré par l’Association des amis de la Contemporaine pour son mémoire de Master 2 intitulé « Chroniques du féminisme bolonais. Naissance, développement et déclin du mouvement féministe autonome à Bologne de 1971 à 1986 ».
À partir de l’analyse des archives du Centre de documentation, recherche et initiative des femmes de Bologne, consultées lors de son séjour Erasmus, Maëlle retrace l’histoire des collectifs féministes autonomes qui revendiquent leur indépendance par rapport aux hommes dans le contexte bouillonnant des années 1970 d'une ville étudiante fortement ancrée à gauche. Faisant la part belle aux récits de femmes, elle met en lumière les bouleversements intimes provoqués par l’expérience de ces « hétérotopies » féministes dont l’héritage est toujours prégnant: « les sorcières ne sont jamais parties » clamaient-elles en 2016, lors de manifestations contre les violences faites aux femmes.
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