Histoire de l’Art
Quelle formation propose le département ?
Le département propose un enseignement adapté pour développer chez l’étudiant(e) une formation intellectuelle et une bonne culture générale, dans toutes les périodes, de la préhistoire au XXIe siècle. Cette fin humaniste permet à chaque étudiant(e) de se familiariser avec les objectifs et les méthodes de l’archéologie et de l’histoire de l’art afin de construire progressivement son parcours personnel orienté vers ses centres d’intérêts et les différents débouchés professionnels identifiés.
Pour l’archéologie comme pour l’histoire de l’art, la région Bourgogne offre de singulières ressources locales, des vestiges antiques de Bibracte au Consortium de Dijon en passant par Cluny ou le musée de la photographie à Chalons, sans oublier le riche patrimoine de Beaune, Macon et Auxerre, ce qui permet de développer un enseignement en lien avec les institutions et les besoins des différentes collectivités locales. Afin d’offrir aux étudiant(e)s une formation appliquée à des débouchés professionnels précis, le Département a créé en troisième année une mineure muséologie et il propose des cours de langues spécialisés.
Ce souci d’intégration n’empêche pas de donner un enseignement général, en lien avec les autres départements de l’UFR Sciences Humaines, également tourné vers l’international, et s’appuyant sur une recherche de haut niveau scientifique liée à des centres du CNRS. A ce titre, le Département a créé de nombreuses possibilités d’échanges avec d’autres institutions scientifiques aussi au niveau international et attire des étudiant(e)s de toute la France et de l’Europe. Après deux années de formation générale, le département propose en 3e année de licence (L3) des parcours en archéologie ou en histoire de l’art qui permettent à l’étudiant(e) de mieux s’orienter par la suite vers le monde de la recherche et de l’enseignement, vers les métiers du patrimoine (concours de l’état, emploi lié à l’archéologie ou au patrimoine dans des collectivités), mais aussi vers les autres possibilités professionnelles (marché de l’art, rôle de médiateur culturel dans des institutions, milieu de l’édition,…).
Quelles sont les conditions pour réussir ?
Les enseignants ont bien conscience que l’archéologie et l’histoire de l’art sont généralement des disciplines nouvelles pour les inscrit(e)s en première année, qui souvent en ont plus une connaissance intuitive ou pratique que raisonnée. Les cours sont adaptés pour initier les étudiant(e)s aux démarches intellectuelles à l’œuvre dans ces deux disciplines, en en faisant découvrir progressivement les objets et les méthodes. Par un travail régulier, les étudiant(e)s peuvent ainsi acquérir un niveau solide de connaissances, à la fois générales, diversifiées et précises, dans ces disciplines.
Mais le succès réside aussi dans la motivation et les qualités personnelles. Les études en archéologie et en histoire de l’art nécessitent une curiosité intellectuelle et un certain niveau de compétence. Il faut aller chercher l’objet d’étude, du chantier de fouille au musée, aller au devant du monument, entrer en contact avec la personne en charge d’une collection, le restaurateur ou l’artiste. Un bon niveau de français, avec une attention particulière à la précision du vocabulaire, est nécessaire, tant pour l’analyse des œuvres que pour la rédaction d’un rapport. En plus de la maîtrise d’au moins une langue étrangère, une certaine mobilité peut demandée à l’étudiant(e), par exemple avec des stages ou des séjours à l’étranger.
L’enseignement à l’université consiste environ en quinze heures de cours hebdomadaires, pendant deux semestres de treize semaines. Ce sont ces enseignements qui structurent l’acquisition des savoirs, des méthodes et des techniques nécessaires. Mais ils demandent absolument à être enrichis par un contact étroit avec les objets d’études, les lieux de leur invention, les structures pour leur conservation et leur analyse (fouilles archéologiques, musées …). Les étudiant(e)s auront donc tout intérêt à compléter de manière personnelle cette formation, par un programme ambitieux de lecture pour développer leur culture générale, par des stages ou un double cursus.
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Quelle formation propose le département ?
Le département propose un enseignement adapté pour développer chez l’étudiant(e) une formation intellectuelle et une bonne culture générale, dans toutes les périodes, de la préhistoire au XXIe siècle. Cette fin humaniste permet à chaque étudiant(e) de se familiariser avec les objectifs et les méthodes de l’archéologie et de l’histoire de l’art afin de construire progressivement son parcours personnel orienté vers ses centres d’intérêts et les différents débouchés professionnels identifiés.
Pour l’archéologie comme pour l’histoire de l’art, la région Bourgogne offre de singulières ressources locales, des vestiges antiques de Bibracte au Consortium de Dijon en passant par Cluny ou le musée de la photographie à Chalons, sans oublier le riche patrimoine de Beaune, Macon et Auxerre, ce qui permet de développer un enseignement en lien avec les institutions et les besoins des différentes collectivités locales. Afin d’offrir aux étudiant(e)s une formation appliquée à des débouchés professionnels précis, le Département a créé en troisième année une mineure muséologie et il propose des cours de langues spécialisés.
Ce souci d’intégration n’empêche pas de donner un enseignement général, en lien avec les autres départements de l’UFR Sciences Humaines, également tourné vers l’international, et s’appuyant sur une recherche de haut niveau scientifique liée à des centres du CNRS. A ce titre, le Département a créé de nombreuses possibilités d’échanges avec d’autres institutions scientifiques aussi au niveau international et attire des étudiant(e)s de toute la France et de l’Europe. Après deux années de formation générale, le département propose en 3e année de licence (L3) des parcours en archéologie ou en histoire de l’art qui permettent à l’étudiant(e) de mieux s’orienter par la suite vers le monde de la recherche et de l’enseignement, vers les métiers du patrimoine (concours de l’état, emploi lié à l’archéologie ou au patrimoine dans des collectivités), mais aussi vers les autres possibilités professionnelles (marché de l’art, rôle de médiateur culturel dans des institutions, milieu de l’édition,…).
Quelles sont les conditions pour réussir ?
Les enseignants ont bien conscience que l’archéologie et l’histoire de l’art sont généralement des disciplines nouvelles pour les inscrit(e)s en première année, qui souvent en ont plus une connaissance intuitive ou pratique que raisonnée. Les cours sont adaptés pour initier les étudiant(e)s aux démarches intellectuelles à l’œuvre dans ces deux disciplines, en en faisant découvrir progressivement les objets et les méthodes. Par un travail régulier, les étudiant(e)s peuvent ainsi acquérir un niveau solide de connaissances, à la fois générales, diversifiées et précises, dans ces disciplines.
Mais le succès réside aussi dans la motivation et les qualités personnelles. Les études en archéologie et en histoire de l’art nécessitent une curiosité intellectuelle et un certain niveau de compétence. Il faut aller chercher l’objet d’étude, du chantier de fouille au musée, aller au devant du monument, entrer en contact avec la personne en charge d’une collection, le restaurateur ou l’artiste. Un bon niveau de français, avec une attention particulière à la précision du vocabulaire, est nécessaire, tant pour l’analyse des œuvres que pour la rédaction d’un rapport. En plus de la maîtrise d’au moins une langue étrangère, une certaine mobilité peut demandée à l’étudiant(e), par exemple avec des stages ou des séjours à l’étranger.L’enseignement à l’université consiste environ en quinze heures de cours hebdomadaires, pendant deux semestres de treize semaines. Ce sont ces enseignements qui structurent l’acquisition des savoirs, des méthodes et des techniques nécessaires. Mais ils demandent absolument à être enrichis par un contact étroit avec les objets d’études, les lieux de leur invention, les structures pour leur conservation et leur analyse (fouilles archéologiques, musées …). Les étudiant(e)s auront donc tout intérêt à compléter de manière personnelle cette formation, par un programme ambitieux de lecture pour développer leur culture générale, par des stages ou un double cursus.
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